Bataille de Friedland

le 14 juin 1807

Napoléon veut en finir avec l’armée russe qui lui a déjà échappé, notamment à Eylau. Il envoie Lannes (17 000 hommes) retarder sa retraite, le temps de rassembler le reste de ses troupes.

Bennigsen dispose de 61 000 hommes (plus 20 000 autres dans les environs). Il franchit la river Alle avec 46 000 hommes mais Lannes mène une superbe bataille défensive en limitant l’avance russe à quelques kilomètres.

Napoléon prend alors personnellement le commandement avec l’arrivée progressive de ses troupes. Vers 5 heures de l’après-midi, il dispose de 80 000 hommes et déclenche son attaque. Le corps de Ney est arrêté par les feux de l’artillerie russe et par de violentes charges de cavalerie. Le corps de Victor est alors envoyé en renfort. Sénarmont, qui commande l’artillerie du corps, forme deux batteries de 15 pièces et les placent aux deux ailes du dispositif français, à moins de 500 mètres de l’ennemi. Puis il les rapproche à 200 ou 300 mètres, voire moins, décimant les rangs russes.

En deux heures de combats acharnés, l’aile gauche russe est détruire et le reste de l’armée est repoussé dans Friedland. Une heure plus tard, elle refluent en désordre à travers la rivière.

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