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Une
vue plongeante du terrain. Tout en haut, nous avons le village de
Libertwolwitz, au centre le village de Wachau et au premier plan, le village
de Markkleeberg. Entre chacun de ces villages nous trouvons un monticule au
sommet plat et assez large pour y loger de l’artillerie. Le mont situé
entre les villages de Libertwolwitz et Wachau porte le nom de Galgenberg.
Les français ont surtout déployé leur infanterie dans les villages et
réparti leurs corps de cavalerie entre ceux-ci. En tout, 16 pièces de 8lb
ont été déployées au sommet du Galgenberg. Sur l’autre monticule entre
Wachau et Markkleeberg, 16 pièces de 12 lb et 16 pièces de 8 lb ont été
déployées. Toute cette artillerie était supportée par quelques bataillions
d’infanterie. De l’artillerie légère couvrait les flancs des positions. |
On peut voir ici que le feu convergeant des deux batteries situées
sur les deux monticules allait donner du mal à quiconque se risquerait
d’attaquer cette position de front. Un corps de cavalerie lourde a été
déployé en retrait entre les deux villages de Wachau et Markkleeberg. |
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Une grande
batterie française se déploie sur le monticule au sud de Wachau supportée
par de l’infanterie de ligne. |
Les russes se
présentent pour attaquer Libertwolkwitz avec Wittgenstein à leur tête. |
Un
imposant corps de cavalerie sous les ordres de Pahlen composé de hussars et
de cuirassiers débouche sur la route menant à Wachau. Ce corps va donner
tête première directement au centre de la ligne française. |
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Une
division prussienne s’approche de la position de la grande batterie
française entre Wachau et Markkleeberg. La gauche alliée était composée
d’une division prussienne supportée par de la cavalerie lourde et de deux
divisions autrichiennes supportées par des chevaux-légers. Leur objectif
était de prendre le village de Markkleeberg et de tourner le flanc de la
grande batterie sur le monticule à l’est du village. L’attaque a justement
commencé du côté autrichien qui se sont montrés très agressifs dès le début
de la partie. |
La pression des
autrichiens se faisant très forte, Murat a dû dépêcher l’artillerie à cheval
de la garde impériale et la mettre en batterie pour protéger le sud-ouest du
village de Markkleeberg. |
La bataille
fait rage sur toute la ligne du front. Au centre et à l’est, les divisions
russes continuent leur avance tandis que plus à l’ouest, les autrichiens
menacent la route de Markkleeberg. |
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Une
brigade de cuirassiers français (ici des carabiniers par manque de
figurines) après-avoir éliminé les chevaux-légers autrichiens sont tombés
sur la division autrichienne qui avançait droit sur le village de
Markkleeberg. |
Au
premier plan, nous voyons ce qui reste de la première division autrichienne
aux prises avec les cuirassier français. Les autrichiens n’ont pas eu le
temps de former les carrés et se sont fait complètement sabrés en trois
tours de jeu. Plus loin, nous voyons des chevaux-légers autrichiens
chargeant l’infanterie française protégeant le flanc droit de la grande
batterie et un immense carré formé de l’autre division autrichienne devant
la menace d’une charge imminente par d’autres cuirassiers français. |
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Une division
autrichienne supportée par une division prussienne (second plan) reprennent
leur avance sur la grande batterie française après l’échec de la prise du
village de Markkleeberg. |
Un brave
régiment de ligne chargé de protéger le flanc droit de la grande batterie
qui attend l’arme au bras l’attaque d’une division autrichienne. |
Grâce au
support de leur cavalerie lourde, les français ont pu contenir la poussée
des autrichiens sur leur flanc droit. Le village de Markkleeberg est
maintenant hors de danger. |
Un régiment de
chevaux-légers autrichiens se reformant après une charge. |
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Par
une suite surprenante de mauvais jets au dé d’initiative, la division
prussienne s’est avancée à pas de tortue laissant ainsi tout le travail et
la gloire aux autrichiens. Il faut aussi noter que la cavalerie prussienne
s’est fait hachée par les canons de la grande batterie plus tôt en cours de
partie et ne s’en est jamais remise. |
La bataille
continue et les russes font quelques progrès au centre contre Wachau. |
Un corps de
cavalerie russe sous Pahlen et une division d’infanterie sous Wurttemberg
s’avance sur la route en direction du village de Wachau. |
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L’infanterie
russe de Wurttemberg se retrouve rapidement confrontée à la cavalerie lourde
française et doit se former en carré. |
La grande
batterie française postée entre Wachau et Markkleeberg ne craint pas de
manquer de cibles mais seulement de munitions. |
Le feu croisé
des deux positions d’artillerie française a tôt fait de repousser la
division de hussars russes. Les cuirassiers russes prennent la relève en
supportant l’avancée de l’infanterie de Wurttemberg. |
Le feu intense
de l’artillerie française ne réussit pas à faire fléchir la volonté des
cuirassiers russes. C’est le temps pour les français d’amener une division
de cuirassiers pour tenter de les contrer devant Wachau. |
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Le moral des
cuirassiers français tient toujours bon devant Wachau. |
L’infanterie
française dans Wachau assiste impuissante au spectacle des charges répétées
des cuirassiers français aux prises avec les cuirassiers russes. |
Les colonnes
russes reprennent sans cesse leur avance sur Wachau malgré la pluie de
projectiles qui font de grandes trouées dans leurs rangs. |
Un général de
division de cuirassier réorganisant ses troupes après une vaillante charge
devant Wachau. |
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Wittgenstein
ralliant des hussars durant la grande bataille de cavalerie se déroulant
près de Wachau. |
Un peu tard les
russes avancent leur artillerie afin de supporter leurs efforts au centre
contre le village de Wachau. |
Le corps russes
sous Gortschakow s’avance sur Libertwolwitz. |
Deux batteries
à cheval tentent de ralentir la progression des unité russes devant le
village de Liebertwolwitz tandis qu’une division de cavalerie légère se
déploie en arrière plan. |
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Les
deux divisions d’infanterie russes de Gortschakow convergent sur le village
de Libertwolwitz et se retrouvent rapidement confrontées à de la cavalerie
française. |
L’artillerie
légère s’est retirée près de Libertwolwitz et la cavalerie s’est avancée
pour forcer l’infanterie russe en carré. |
Dès lors, les
artilleurs pointent leurs pièces à portée de mitraille et désorganisent le
premier carré devant Libertwolwitz. |
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Les
chasseurs à cheval de la ligne chargent le premier carré russe désorganisé
et le met en déroute. Les fuyards dans leur course sèment à leur tour la
pagaille dans les rangs de leurs camarades arrivant en ligne juste derrière.
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Faute de cavalerie pour supporter leur avance, les russes en sont réduits à
se mettre en carré et à avancer à pas de tortue en direction du village de
Libertwolwitz tout en étant entouré par la cavalerie française. |